jeudi 17 octobre 2013

Audience du 8 octobre - LA FUITE ! Communiqué d'info VA du 16/10/2013

Nous nous attendions à un coup tordu pour retarder encore et encore la manifestation de la vérité : nous y sommes ! Monsieur Rouaux à évité le jugement sur le fond (les élections ont-elles été faussées ?) en contestant la recevabilité de l’assignation devant le TGI, au prétexte de devoir demander préalablement la conciliation du CNOSF.
Tout en invoquant cette procédure, il sait aussi que la conciliation n’est qu’un avis que lui-même s’empresserait aussitôt de contester par la suite !
Le Tribunal se prononcera donc sur la recevabilité le 26 novembre, avant de revenir sur le fond.


C'est la tactique classique du pourrissement, qui est à l'oeuvre depuis le début de cette affaire (souvenez-vous de la CSOE, qui a mis trois mois pour rendre son rapport !). Elle mise sur la lassitude de l'adversaire et retarde sans fin le jugement redouté.

Monsieur Rouaux sait pertinemment qu'il va perdre et donc choisit le salut dans la fuite en espérant tenir un maximum de temps. Lorsque l’on est serein, sur de soi et de son bon droit, on n’essaye pas de reculer, on ose affronter les réalités.

Or, qu’attendent avant tout les vélivoles, les associations ainsi que les tutelles ?
                     … La réponse est fort simple, 1° : que la justice se prononce et 2° : le plus rapidement possible.


Parce que la Justice, qui est la seule à pouvoir trancher, ne fera rien d’autre que redonner la parole aux clubs, mais cette fois en respectant les statuts qui sont leur Loi.

Du fond, d'ailleurs, il ne parle plus. Ses "flash info" se concentrent sur les attaques personnelles contre Joël Denis et quelques autres, saupoudrées de malveillances sur ses adversaires, accusés entre autres, de s'en prendre à son équipe, ce qu'ils ne font jamais.

En effet, nous ne faisons pas d'erreur sur la personne : c'est Monsieur Rouaux et personne d'autre, qui est responsable de ce gâchis, c'est lui qui s'acharne à conserver sa fonction usurpée, en dépit des preuves d'irrégularité incontestables. Son équipe, qu'il a eu bien du mal à réunir, mérite sans doute mieux !

Pour nous tous aujourd'hui, Présidents de clubs et vélivoles, les choses sont claires.
Notre Fédération est entre les mains d'un Président élu à la suite d'un scrutin faussé, dont les irrégularités ont été niées au point de nous contraindre à faire appels aux tribunaux.

Ce "Président" utilise les moyens de la Fédération (avocats, secrétariat, publications...) pour vous abuser, pour se faire passer pour une victime, pour assurer sa défense, dans le seul but de préserver sa position.
Non seulement il vous abuse, mais c'est vous qui payez !
Dans le même temps, il multiplie les initiatives dans la précipitation et sous la pression d'une échéance judiciaire. Des décisions contestables et lourdes de conséquences, sont en préparation.
Cette situation est unique dans l'histoire de notre sport. Elle doit cesser au plus vite.


Le mouvement a d’abord besoin d'une décision de justice !
La retarder est une faute de plus à la charge d'un "Président" et d'un système complètement verrouillé, qui vous a volé votre parole et confisqué vos suffrages.


Nous continuons notre travail au service d'un vol à voile généreux, démocratique, honnête, et en attente de projets. Le 26 novembre ne sera qu'une nouvelle étape et le cours de la justice se poursuivra.

Ensemble, nous restons tous mobilisés, car l'avenir de la FFVV et de notre sport est entre nos mains et c'est notre volonté collective qui le construira.

Très cordialement, de la part de toute l’équipe de